18 janvier 2012
La paix des morts ne soulage pas la peine des vivants
Tu avais froid, tu me l'a dit, En ces austères mois d'hiver, Tu as cherché, toute la nuit, De quoi réchauffer ta chaumière. Quand au matin, les yeux rougis, Tu es rentrée les deux mains vides, Tu as joué à la loterie, Pour raviver ta céphéide. Une chance...